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Format |
Radio
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Titre de l'émission |
LA 11E HEURE
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Titre du segment | Conversations parisiennes: Anne Hébert et Madeleine Gagnon (2 de 4) |
Date de création
| 1997-12-29 |
Durée du segment | 00:25:30 |
Invités | Hébert Anne, auteur; Gagnon Madeleine, auteur |
Artisans | Dumais Doris, réalisatrice; Durand Monique, intervieweuse; Vigeant André, animateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | En février 1995, deux auteures, deux poètes, deux parcours, deux générations et deux imaginaires, Madeleine Gagnon et Anne Hébert se sont rencontrées dans l'appartement parisien de cette dernière. Dans ce deuxième volet, les deux femmes parlent de l'importance de l'eau dans leurs écrits, reflet des réminiscences de leur enfance, de leur jeunesse ou encore de leur première traversée de l'Atlantique en bateau. Elles partagent aussi leurs réflexions sur l'acte d'écrire, sur la poésie et la barrière ténue avec le rêve. Enfin, elle racontent leur parcours de vie, leur enfance; Madeleine Gagnon se remémore plus particulièrement ses années d'études chez les Ursulines à Québec. De la musique sur disques complète l'émission. |
Mots clés | Considérations littéraires — Femmes — Littérature — Paris — Poésie — Souvenirs |
Remarques sur le document | Cette émission a été rediffusée le 2000-03-10 dans le cadre de l'émission "Entretiens et confidences". |
Identifiant | 1260123 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
2 |
Format |
Radio
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Titre de l'émission |
LA 11E HEURE
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Titre du segment | Conversations parisiennes : Anne Hébert et Madeleine Gagnon (3 de 4) |
Date de création
| 1997-12-30 |
Durée du segment | 00:26:48 |
Invités | Gagnon Madeleine, auteur; Hébert Anne, auteur |
Artisans | Dumais Doris, réalisatrice; Durand Monique, intervieweuse; Vigeant André, animateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | En février 1995, deux auteures, deux poètes, deux parcours, deux générations et deux imaginaires, Madeleine Gagnon et Anne Hébert se sont rencontrées dans l'appartement parisien de cette dernière. Dans ce troisième volet, les deux femmes parlent de leurs années d'études. Ce furent des années difficiles pour elles. Anne Hébert déménageait souvent, changeait d'école et a terminé ses études après sa neuvième année pour raison de santé. Madeleine Gagnon qui vient de la Matapédia se frappe au snobisme des jeunes filles de la haute-ville chez les Ursulines de Québec. Elle finira son cours à Notre-Dame-d'Acadie à Moncton. Les deux femmes évoquent leurs motivations d'écrire. Anne Hébert parle de ses premières publications et de la réaction des éditeurs de l'époque. Anne Hébert et Madeleine Gagnon évoquent ensuite leur désir de quitter le Québec et d'aller en France voir le pays de leur culture. Pour elles, l'éloignement leur a permis d'écrire, de s'approprier des lieux, de se nourrir pour mieux écrire. Elles abordent finalement l'acte de l'écriture. Il est difficile pour Anne Hébert lorsqu'il s'agit d'un roman. Madeleine Gagnon explique qu'elle anticipe le plaisir qui naîtra bientôt lorsque l'histoire prendra forme. De la musique sur disques complète l'émission. |
Mots clés | Éducation — Femmes — Littérature — Livre et édition — Paris — Poésie — Roman — Société — Souvenirs |
Remarques sur le document | Cette émission a été rediffusée le 2000-03-16 dans le cadre de l'émission "Entretiens et confidences". |
Identifiant | 1260211 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
3 |
Format |
Radio
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Titre de l'émission |
LA 11E HEURE
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Titre du segment | Écrivains du Canada anglais (9 de 10): Doug Jones |
Date de création
| 1998-06-11 |
Durée du segment | 00:28:45 |
Invités | Bouchard Danielle, lectrice; Jones Douglas, auteur, poète; Ray Allan Wood |
Artisans | Durand Monique, réalisatrice, animatrice; Vigeant André, animateur |
Collection(s) |
Société Radio-Canada
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Résumé | Première de deux entrevues réalisées par Monique Durand avec l'écrivain Doug Jones, chez lui à North Hatley. Douglas Gordon Jones raconte son enfance à Bancroft, petit village ontarien où son père était marchand de bois. Il évoque sa découverte de la poésie au secondaire et ses premiers pas en écriture. Selon lui, on devient poète en lisant d'autres poètes. C'est à travers la poésie qu'il est venu à aimer la langue française. Il aimait des écrivains comme Mallarmé qui était très différent des auteurs anglo-saxons. Après des études littéraires, il enseigne dans plusieurs universités jusqu'à son arrivée à l'Université de Sherbrooke, où il enseignera pendant 30 ans. En 1958, il est invité à une rencontre d'écrivains du Québec dans les Laurentides. Il rencontre Gaston Miron, Michèle Lalonde, Jacques Godbout, Yves Préfontaine et d'autres. Il est étonné de la frustration qu'il sent chez ces poètes, et en même temps émerveillé de voir des artistes qui veulent recréer le monde. Il est séduit par l'énergie de la poésie politique. Il va traduire certains poètes québécois et même composer des poèmes en français. De la musique sur disques complète l'émission. |
Mots clés | Colloques et rencontres — Littérature — Littérature anglo-canadienne — Littérature française — Poésie — Souvenirs |
Identifiant | 1260882 |
Mise à jour |
2019-03-07 |
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